Waldshut

29km

(Et ça, ça agace un peu Sébastien, qui aimerait bien en avoir fait plus…)

A 9h on est en route, bien contents de démarrer pas trop tard ! Un robinet juste en quittant le bivouac, et le plein d’eau est fait avant de reprendre la veloroute. A Laufenburg rive droite, ville allemande, Sébastien et les enfants montent acheter du pain – et des bretzels pendant que je les attends au pont avec Marjorie et les vélos – pont que nous empruntons ensuite, l’itinéraire continuant par Laufenburg rive gauche, ville suisse. Vous me suivez ? ;^) C’est quelquefois un peu compliqué ! Enfin pour ce qui nous concerne : on évite les courses en Suisse, et bivouac toujours en Allemagne.

Laufenburg, l’Allemande

Laufenburg la Suisse

Aujourd’hui, un morceau conséquent de trajet sur une belle piste cyclable le long de la voie ferrée, en Suisse, puis bien moins agréable, sur une route assez importante où est juste peinte une bande cyclable. Bon, nous sommes en Suisse, les voitures ne nous frôlent pas comme par chez nous, mais c’est bruyant, fatigant, sans intérêt. Ouf, voilà la bifurcation vers la passerelle sur le Rhin, pas fâchés de quitter la circulation pour prendre le chemin goudronné qui descend vers le fleuve.

La passerelle ? Elle est actuellement condamnée. C’est seulement après bifurcation, la descente en traversant la voie ferrée, le passage entre les fermes… qu’un panneau annonce cette fermeture. Hum, on avait connu plus de rigueur en Suisse ;^) pas du tout motivés pour remonter, nous suivons le Rhin par le chemin non revêtu qui le longe. Tout le monde s’accorde sur le fait que les petits cailloux, c’est pénible, mais que la circulation bruyante et stressante, ça l’est encore plus.

Pause dej moins bucolique qu’hier, néanmoins baignade, sable fin et pique-nique sont au rdv ce qui est déjà pas mal. Petite explication du fonctionnement de la centrale hydraulique que nous franchissons juste après le déjeuner, car en rive allemande un grand schéma la représente.

Courses à l’entrée de Waldshut, dont nous choisissons d’aller voir le cœur de ville, là haut. Un bon glacier, les enfants sont enchantés, une porte de prison serait probablement plus aimable que celle qui sert les boules dans les carnets, mais pas grave, les glaces sont bonnes. De l’eau – rigole, fontaines – ponctue la grand’rue. Comme hier à Bad Säckingen.

Plein d’eau fait, retour vers le Rhin, une aire de jeux magnifiques est choisie pour le repas du soir (salade verte, spätzle), puis nous repartons juste au coucher du soleil, un beau pré fauché nous attend pour planter la tente avant de repasser, demain matin, en Suisse.Si vous nous lisez, laissez un p’tit mot, comme Emi-Oli-Cle ! Ça nous motive à ecrire la suite :^)

6 réponses sur “Waldshut”

  1. Hihihi… Merci pour le clin d’oeil 😀

    Vos aventures donnent envie d’en vivre aussi !

  2. Ces zigzags d’une rive à l’autre nous font découvrir des villes vraiment superbes autour du fleuve frontalier.
    Très belles photos !!!

  3. Merci pour vos récits ! C’est avec grand paisir qu’on les découvre !
    Bon voyage, profitez bien!

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Bad Säckingen

Ça, c’est Jean-Jacques. Parti de Paris, il roule vers Vienne. Une centaine de kilomètres par jour…. on ne va pas au même rythme ;^)Jean-Jacques tient une petite chronique « vélo » pour Europe 1, alors après quelques minutes de conversation – il disait en passant son admiration pour le bivouac, que nous finissions de plier – il a réalisé une petite interview. C’était un début de journée original ! :^)Il faisait grisounet, très brumeux. Alors qu’au lever de 2h20 du matin un magnifique clair de lune eclairait les tentes !Il faisait bon, et la brume nous évitait probablement d’avoir trop chaud.Courses en arrivant à Rheinfelden, au Aldi süd repéré hier sur Osmand, on a vu avec gourmandise les « crottes de souris » en rayon, pas moyen d’en rapporter dans les sacoches, elles sont PLEINES… Sage acquisition de quelques légumes, pas trop de fruits car on en trouvera en chemin, non, pas de chips ! Pas la place ! Et, miam, du Gouda vieux, introuvable dans la grande distribution française… (ne nous plaignons pas : chez nous on peut trouver du bon Comté vieux un peu partout). Une dame nous renseigne sur une bonne boulangerie : j’ai promis des bretzels ! Aïscha s’emerveille de notre équipée, des prénoms des enfants…Alors que nous finissons de ranger les courses (nous continuons de nous perfectionner en Tetris, au fil des années), les enfants entendent « Pschhhh » à l’avant du vélo de Justine qu’ils viennent de relever. Trou vers la valve… Pendant que Sébastien s’attelle à la réparation, je pars à la boulangerie avec Clémence et Marjorie, si heureuse d’avoir une bretzel pour elle ! Clémence repère un bon pain, en fait ils ont tous l’air bons…Réparation insatisfaisante, il faut trouver une chambre à air de rechange en 20 pouces. On décharge son vélo pour retourner en famille vers le centre-ville, le magasin de vélos qu’on nous indique est fermé à cette heure (12h passées). Charcuterie, plein d’eau à côté à la boulangerie de tout à l’heure car à la charcuterie on a refusé de remplir nos gourdes…La roue avant de Justine n’est pas très ferme, mais le vélo tient la route : on repart comme ça, enfin en l’allégeant :Nous roulons tantôt le long du Rhin, tantôt sur de belles pistes cyclables, même si parfois le revêtement n’est pas très roulant (sable, graviers) c’est agréable.On s’est éloignés un peu du fleuve, quelques petites montées, le déjeuner tarde, ça commence à grogner dans les rangs… petite pause pommes…« Les croqueurs de pommes », spéciale dédicace à mon oncle Michel qui, le premier, m’a parlé de cette association. Une pensée pour toi, pour ta maman… »Quand est-ce qu’on s’arrête ? Chuis fatiguée ! » « On mange bientôt ? »  » Je veux une aire de jeux ! »Bon, personne n’a été déçu par le spot « mi-journée » (bien qu’un peu tardif)… voyez plutôt !Traumhaft !Toujours bien satisfaits du dispositif de remorquage :Hop, micro halte prunes…Nous arrivons juste à temps à Bad Säckingen pour, guidés par un cycliste local, trouver où acheter une chambre à air juste avant la fermeture ! Et faire le plein d’eau… Nous redescendons dans le centre historique, pour voir le Fridolinsmünster, édifice baroque aux deux clochers surmontés de bulbes, et le vieux pont en bois, que nous avions peut-être bien emprunté en 2013…On ne traîne pas, bientôt 19h, en route pour chercher un bivouac !Nous le trouvons en bord de Rhin, non loin de la caserne de pompiers. Baptiste fait remarquer que l’herbe est rase, ce qui pourrait nous éviter d’avoir les pieds mouillés demain matin !Montage en famille, des tentes et des dortoirs.Popote par les parents pendant que les enfants cassent des noisettes ! Ce soir soupe aux orties, carotte, poivron, oignon, origan, et aux pâtes… Plébiscitée :^)On utilise pour la première fois la lampe achetée pour la cabane de jardin, et prise en dernière minute en prevision des jours qui raccourcissent…

3 réponses sur “Bad Säckingen”

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Wyhlen

Ça y est, nous avons quitté notre sol national !Suivant l’Euovélo 6, nous avons franchi la passerelle des trois pays pour parcourir quelques centaines de mètres en Allemagne avant de franchir la frontière Suisse.

Nous avons tout de suite vu que le coronavirus était plus virulent dans ces 2 pays: alors qu’en France 1 mètre suffit pour se mettre à l’abri, ici c’est 1,5 mètres qui sont nécessaires !C’est Justine qui était sur le tandem Pino, Baptiste ayant fait quasiment toute cette étape sur le vélo de sa sœur.Contrairement à notre périple de 2013, nous décidons de rester au nord du Rhin: nous ne verrons pas le vieux centre de Bâle, mais nous éviterons aussi la sortie de ville longue et très industrielle qui nous avait déplu.

Nous repassons donc en Allemagne, cherchant un endroit pour déjeuner. Dur de se décider, car les grands enfants veulent une aire de jeu et la petite Marjorie veut se baigner (ainsi que ses parents) car il fait chaud !!!Grâce à notre application de cartographie Osmand, je repère une aire de jeu au bord du Rhin, peut-être pourra-t-on satisfaire tout le monde ? En fait il s’agit d’un Freibad, piscine en plein air avec un parc géant autour et des jeux. C’est trop tentant, on achète nos entrées et nous y passons le reste de la journée.Nous en ressortons à 19h, juste le temps de trouver un site de bivouac quelques kilomètres plus loin avant que le soleil ne soit trop bas. Une petite soupe aux herbes sauvages (orties, serpolet) et au lit !22 km parcourus

3 réponses sur “Wyhlen”

  1. Cette fois ci, on suit votre voyage en direct! Lecture de vos aventures chaque matin, au p’tit dej… Aujourd’hui on pensera à vous au nouveau pic-nic de « non rentrée » au Malsaucy comme nous avions eu plaisir à en partager un avec vous vendredi dernier.
    Bravo à Baptiste qui a l’air de retrouver la joie de pédaler en solo!
    Dorothée

    Augustin

    Bises à vous 6 de nous 5!

  2. ich freue mich euch , wenn auch nur kurz kennengelernt, zu haben . Finde ich super was ihr mit euern Kindern macht. Das festigt die Familie Viel Glück und Gottes Segen

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La petite Camargue Alsacienne

Voici donc où nous bivouaquons pour la nuit, que nous espérons bonne après avoir fait une chasse aux moustiques … un must dans toute bonne Camargue qui se respecte !

Ce matin nous avons pris notre temps, la nuit des préparatifs ayant été (très) courte. Les Ptits Poums nous ayant proposé de rester déjeuner, c’est après 15h que nous nous mettons en route, direction Bâle. La sortie de l’agglomération est longue, il fait chaud: lorsque nous rejoignons le canal à grand grand gabarit, l’envie est forte de se baigner. Mais malgré un bon accès à l’eau nous renonçons après avoir vu passer quelques monstrueuses péniches avec leur cortège de remous.

Péniches que nous revoyons à l’écluse un peu plus loin … les enfants ne se lassent pas du spectacle !

Après avoir passé Kembs, nous nous mettons en quête d’un bivouac que nous mettons du temps à trouver, d’autant plus que nous nous arrêtons pour faire le plein d’eau … et de figues.

Le temps de planter nos 2 tentes (eh oui, les enfants grandissent et on ne rentre plus dans une seule …) et c’est au crépuscule que nous mangeons.32km parcourus

4 réponses sur “La petite Camargue Alsacienne”

  1. Je n’avais jamais entendu parler de cette Petite Camargue alsacienne !
    C’est reparti d’apprendre plein de choses sur vos traces.
    On vous souhaite de belles observations, d’oiseaux notamment !

  2. Info moustique : l’huile de coco apaise merveilleusement les piqûres d’insectes !

    Belle route !

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Mulhouse !

Départ à 8h15 13h15, avec Guillaume qui nous accompagne pour les premiers kilomètres !

Passage chez à-fond-la-forme pour les baskets de Justine, cet été les pieds de nos enfants grandissent aussi vite que nos courgettes au jardin 😄 . Ah et puis un casque aussi… Baptiste a oublié de le prendre en quittant la maison !

Temps magnifique, jolies routes, et validation du dispositif de traction mis en place par Sébastien : recyclage efficace de la courroie d’un volet roulant.

Pause déjeuner autour de 16h à Montreux-Vieux, avec Guillaume ; la dernière fois que nous étions à ce même endroit, c’était avec Thomas !!

On va passer par Mulhouse, faut quand même le dire aux Ptits Poums… Très occupés en ces temps de rentrée, et pourtant…

Baptiste après 30 km a relayé Justine sur le vélo blanc. Et ça a été parti pour un joli sprint de 20 km !! Grâce à quoi nous voici à Mulhouse chez la marraine de Justine, dodo tôt dehors (tente dans le jardin pour 3, belle étoile pour 3 autres), retrouvailles demain matin avec les enfants d’ici !

Environ 50 km.

Nous avons 4 compteurs, un quatuor farceur…

3 réponses sur “Mulhouse !”

  1. Quelle belle vadrouille pour commencer !
    Bonne suite, à fond la forme ! 😀

    (Nous avons des soucis pour visiter les liens. Notre informaticien à domicile souffle que le problème vienne du blog.)

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1 sacoche, 2 sacoches, 3 sacoches…

… 14 sacoches bouclées avant d’aller dormir !

Comme il y avait des « je veux voir la mer » et des envies d’Allemagne, direction le Bodensee, ou Lac de Constance. Pour les plus jeunes le découvrir, pour les aînés le revoir 7 ans et demi après notre passage hivernal en 2013

Au plaisir !

Spéciale dédicace à Djoupette, et aux parrain marraine des enfants qui soufflent leurs bougies ce(s) jour(s)

H.

5 réponses sur “1 sacoche, 2 sacoches, 3 sacoches…”

  1. Départ avec un peu de retard… Finalement, 2 petites mains de plus pour préparer les affaires ont pu aider (?).
    Un très beau voyage à vous tous !

    Emilie, Olivier, Clémentine

  2. Jolie perspective !!!
    À tous alors, de bons coups de pédales dans cette direction !
    C’est vrai que See, en allemand, c’est le lac et la mer : quels rusés vous êtes
    Superbe temps pour accompagner ce départ qui couronne de minutieux préparatifs.
    Plein de bises à tous

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Belfort !

Dernière étape, courte, pour rejoindre la maison.

Nous avons 1h30 de vélo à faire, et pensions éviter la pluie … raté ! 10 minutes après notre départ, elle commence à tomber.

Passant par Danjoutin, nous prenons tout de même le temps d’acheter au distributeur la douzaine d’œufs demandés par Hélène.

Nous arrivons à la maison trempés, acccueillis par Guillaume, Baptiste et Marjorie que j’ai grand mal à faire patienter avant de la prendre dans mes bras le temps que j’enlève mes vêtements dégoulinants !

Et ce soir, comme l’étape a été un peu courte, je repars avec Baptiste et Justine en tandem pour aller au vernissage d’une expo photo à la salle des fêtes de Belfort !

28 km parcourus

C’est donc le terme de ce voyage en France d’un peu plus d’un mois, pendant lequel Justine et son papa ont pu avoir un contact privilégié.

Un grand MERCI à tous ceux que nous avons rencontré en voyage, avec qui nous avons discuté, qui nous ont hébergés. Sans vous, ce périple n’aurait pu être ce qu’il a été, une découverte de la France, mais aussi de ses habitants. C’est cet ensemble qui le rend riche et inoubliable 🙂

… et la rubrique commentaires du blog reste ouverte pour ceux qui le souhaitent !

Une réponse sur “Belfort !”

  1. Comme on est contents de vous savoir réunis et bien à l’abri lors de cet assaut tempétueux !
    Bravo d’avoir si bien géré le parcours et calculé d’être de retour juste à temps, tout en ayant profité à fond de ce grand voyage. Très grosses bises à vous tous !

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Audincourt

Journée de brume et de grisaille, 8°C max.

Nous prenons le temps ce matin et partons à 10h30 passées.

Le temps devant tourner à la pluie demain à la demi-journée, j’essaye d’avancer au maximum. De toute façon, la température ne donne guère envie de s’arrêter : afin de ne pas trop suer en pédalant, je porte tee-shirt + polaire en haut, shirt en bas, et chaussettes et sandales aux pieds. Accoutrement qui fait qu’au-delà de quelques minutes d’arrêt, j’ai vraiment froid !

Quant à Justine, qui n’est vraiment pas frileuse, elle a refusé comme les autres jours ses gants et son pantalon chaud et étanche. Sauf qu’aujourd’hui ce n’est pas suffisant: elle a froid et son humeur s’en ressent: elle passe son temps à bougonner. Après une pause pour mettre les gants, j’en refais une pour lui imposer le pantalon chaud et coupe-vent. Un sachet de pancakes lui permettra de retrouver sa bonne humeur (merci Isabelle !)

Après avoir coupé pour rejoindre l’Eurovélo sans passer par le centre de Besançon, nous atteignons Baume-les-Dames vers 13h, et partageons un sandwich au kebab Istanbul.

Nous en ressortons réchauffés par la température et la gentillesse du patron, et repartons.

Nous voyons beaucoup de hérons, cendrés mais aussi blancs, ce qui est une nouveauté 2019 (avant, c’était très rare). Nous nous demandons pourquoi: un lien avec les étés de plus en plus chaud ?

(Suite à recherche d’Hélène, la spécialiste ornithologue de la famille, il pourrait aussi s’agir d’aigrettes … si j’en revois demain, j’essaierai de prendre le temps de mieux les observer)

Nous prenons une nouvelle fois un raccourci afin de court-circuiter les méandres de l’Isle-sur-le-Doubs. Si ces raccourcis diminuent la distance à parcourir, ils augmentent le dénivelé. Il faut donc bien peser le pour et le contre avant de choisir… Quant à la circulation des routes, difficile de savoir à l’avance… en l’occurrence pour ce dernier raccourci, la route était avait beaucoup de traffic, notamment des poids-lourds !

A 15 km de Montbéliard, ça devient dur, plus de jus dans les jambes. Je lutte pour avancer, avec ce petit vent dans le nez qui s’est levé vers midi. Nous finissons dans la nuit.

Trop refroidis pour dîner dehors, nous nous replions sur le Flunch de Montbéliard, qui organise quelques festivités pour Halloween.

J’improvise un déguisement pour Justine avec les moyens du bord.

Nous contactons Olivier, Emilie et Clémentine pour leur proposer de nous y rejoindre.

Ils ne peuvent pas, mais nous convenons de monter après le repas chez eux: nous dormons donc au chaud !

Aujourd’hui 91 km

Besançon

La maison se rapproche, lentement mais sûrement !

Ce soir, nous sommes à Besançon au terme d’une petite journée de vélo.

Partis d’Orchamps vers 10h, nous avons sommes arrivés chez ma sœur Annabelle pour le déjeuner.

Comme hier, nous avons privilégié un itinéraire court, quittant la veloroute à Routelle. Mais aujourd’hui, c’est une option sympa: petites routes certes un peu vallonnées mais agréables. L’arrivée sur Besançon l’est un peu moins : passage de 500 mètres sur la rocade, suivi d’une piste ccclable qui traverse ladite rocade par des ronds-points où le fléchage du cheminement des vélos est absent.

Cet après-midi, petite balade à pied sous la bruine automnale.

Pas beaucoup de photos aujourd’hui encore: le froid et les doigts engourdis ne donnent pas envie de sortir la boîte à images…

Aujourd’hui 35 km.

Une réponse sur “Besançon”

  1. Hello Justine et Sébastien,
    Je vous espère bien rentrés à Belfort, sans trop de pluie ! Bon retour à la maison et belles retrouvailles avec le reste de la famille en cette fête de la Toussaint !

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Orchamps

Oh, qu’il fait froid et humide ce matin !

Nous quittons Isabelle pour descendre sur Dijon: objectif le musée d’histoire naturelle où nous voulons passer un peu de temps avant de nous mettre en route … mais nous sommes mardi, jour de fermeture des musées.

Nous allons finalement faire un tour au marché et visiter Notre-Dame de Dijon.

Puis nous nous mettons en route. Plutôt que de rejoindre l’Eurovélo 6 avant Dôle, je privilégie un itinéraire plus direct, mais avec plus de dénivelé, que je ne connais pas. Mais la départementale que nous suivons est très circulante.

Nous passons par Genlis, puis Auxonne où nous pique-niquons. C’est par cette ville que nous sommes passés en 2018 en route vers les Pays-Bas en remontant la Saône. Mais aujourd’hui nous la croisons sur un parcours est-ouest.

Après une heure de pause, nous repartons, je suis un peu gelé et pédale fort pour me réchauffer. Short et sandales c’est parfait pour rouler, mmais en pause c’est un peu léger…

Juste avant l’arrivée, nous nous arrêtons pour regarder un chantier sur le canal: des ouvriers mettent des palplanches pour renforcer la rive. Les palplanches sont enfoncées dans le sol par un tractopelle embarqué sur un barge.

Nous arrivons chez Damien, Stéphanie, Marie, Thomas et Zélie vers 16h15. Ils nous avaient déjà accueillis à l’aller début septembre et nous ont suivis sur le blog.

Repas composé de champignons fraîchement cueillis, d’œufs du poulailler, et de châtaignes de Volvic de nos sacoches. Que des produits sains !

Justine est ravie de retrouver les enfants (et vice-versa) !

66 km parcourus

Une réponse sur “Orchamps”

  1. Oui bien froid et humide hein. Ici le changement c’était lundi, prête à partir avec Marjorie en fin de matinée,
    rejoindre les grands chez Papi je suis revenue chercher moufles, cagoules et coupe vent pour eux : il faisait chaud quand ils sont montés samedi !

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